Des contacts intéressants
Avant de commencer à entrer dans le détail, ce qui s'est passé lors de cette rencontre est intéressant pour 2 raisons évidentes. Solène pourra, lorsque l'on aura besoin et avancé, apporter un regard sur la montée du dossier; ainsi elle pourra nous accompagner dans le travail d'écriture. De même par chance elle a aidé à mettre en place et participé à "Michto la caravane". Tout cela pour dire qu'elle connaît ce style de projet et trouve le notre intéressant (donc prête à prendre du temps hors de son travail pour nous aider).
Ca, c'est fait. Une parenthèse : durant Mythos j'ai rencontré une fille qui travaille dans une radio, et, en lui parlant du projet, je lui ai demandé ce qu'elle pensait d'avoir une espèce de relais radio durant nos différents voyages pour faire des émissions relatives à notre travail, à nos rencontres... Elle m'a répondu clairement que ça les intéressait et qu'ils avaient déjà fait ça pour d'autres projets. Cela nous permettrait d'être appuyé par eux (logo et soutien dans le dossier), d'être diffusé régulièrement afin de relater nos exploits. De plus, ils ont d'autres antennes donc tout cela peut être à mon sens très bon à partir du moment où on l'aura défini (attention à ne peut être pas tomber dans le reportage à parler du niveau de vie, des monuments aux morts à visiter pour les touristes intéressés...). Si ça se trouve il pourra y avoir un apport financier... À revoir et ne pas mettre de côté.
Revenons maintenant à nos moutons. Solène a affirmé qu'il n'y a pas de secret : il faut d'abord bien définir ce que l'on va faire, tout en recherchant des contacts, des collectifs... en gros ce que l'on a dit et ce que Nolwenn a écrit dernièrement. Une fois tout cela mis en place, autrement dit, l'écriture terminée et nous, connaissant tout notre projet, ben là c'est banco, on envoie à tout le monde pour toucher les bourses, les pépètes, la thune...
Le plan
Alors dans l'idée je vous donne le style de plan, de questions à se poser et auxquelles répondre petit à petit pour construire notre dossier. Je retournerai la voir ou lui demanderai de m'écrire plus précisément un plan mais voilà à peu prés ce qui a été dit.
• Tout d'abord, trouver un nom accrocheur. Là je pense que l'on trouvera dans 20 mois, tout ça pour dire que ça viendra quand on aura nos idées plus au clair.
• Ensuite présenter l'idée du projet et l'expliquer (ce que l'on a commencé à faire)
• On enchaîne par l'explication du grand objectif autrement dit de la finalité du projet
• Puis là on parle des différents objectifs (par des verbes d'action par exemple "sensibiliser à...", "échanger avec..."...). On parlera alors des différents publics (nous, les collectifs, les habitants), du déroulement (lieu, quand à quand, combien de temps dans chaque lieux, qu'est ce qui s'y passe). Quel sera les liens entre les pays (est ce que les ateliers seront identiques à chaque fois, est ce que le lien se fera via les habitants; du coup quels types d'habitants, est ce qu'on échange dans le nouveau pays avec les objets des gens d'avant ...)
• Puis en gros on continue avec les moyens humains (qui on est, nos origines, pourquoi on fait ça, pourquoi on va bosser avec ces autres gens, qui sont ils pour que l'on ait choisi ces personnes). Les moyens matériels et les moyens financiers.
• Pour finir, l'évaluation (l'impact du projet sur place, au retour)
J'ai fait au plus court pour présenter tout ça et je vais la recontacter afin d'avoir un plan mieux expliqué et plus posé mais de toute façon toutes ces questions sont indispensables. De plus, y'a du boulot car il va falloir détailler et vraiment rentrer dans le détail (en allant même à établir le principe de ce qui sera fait au sein des collectifs jour après jour. Expliquer pourquoi on part dans ces pays là, pourquoi vers telle style de population (urbaine, campagnarde...) car en fonction de ce que l'on fait ce ne sera pas adaptable de la même manière.)
Pour ce qui est des contacts à l'étranger il va d'abord falloir passer par nos connaissances : les gens des Beaux Arts partis en Erasmus ou qui sont en France dans le cadre d'Erasmus. Aller dans des pays et des collectifs pour parler et échanger des contacts. Puis notamment voir avec des collectifs genre "La friche" à Marseille (www.lafriche.org) qui établit plein de contacts avec les artistes et collectifs européens. Pour ma part j'ai le contact d'une fille qui travaille là bas (une amie à une connaissance). On l'appellera lorsque l'on se sera un peu plus calé sur le reste.
On va pouvoir mettre la tête dans le guidon maintenant.
Poulidor de la motte.
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